La révolte se traduit par la rebéllion, le soulèvement contre l'autorité établie ce qui semble s'opposer à la loi, aux droits qui régissent la société permettant de garantir l'ordre et la paix. Ainsi, comment la loi pourrait-elle établir la révolte comme un droit alors que ces deux notions ont l'air de se contredire?
Par ailleurs, la révolte permet à la population de montrer leur désaccord avec une loi, de revendiquer leurs droits ou encore de dénoncer des injustices ce qui peut-être considérer comme un droit naturel de l'Homme voire même dans une moindre mesure comme un devoir.C'est aussi la liberté d'expression qui est mise en jeu ici. Cependant, cette révolte doit rester limitée; tout ne doit pas être autorisé afin que puisse régner l'ordre dans la société et éviter les débordements tels que les violences que peuvent engendrer cette rebéllion. De plus, il peut paraître difficile de définir une juste cause pour pouvoir se révolter et de déterminer les différents moyens de se révolter qui peuvent être correct ou pas vis-à-vis de la loi et de l'Homme.
Nous verrons donc dans un premier temps, la difficulté à pouvoir associer la révolte et le droit qui sont deux notions qui sont au premier abord très distincts l'un de l'autre puis dans un second temps la nécessité de voir les buts de la révolte et de définir ce que la signification du mot droit qui nous incite à réflichir sur la possibilité d'un lien entre ces deux termes mais dans un dernier temps de voir les limites que peut avoir la révolte sur la société et ses