Philosophie médecine
L’être humain
340-102-MQ
Groupe : 06
LA CONCEPTION HUMANISTE ET RATIONALISTE DE L’HUMAIN EN MÉDECINE
Travail présenté à Monsieur
Jean-Sébastien Bélanger
Cégep de Sorel-Tracy
9 avril 2013
Équipier A, Paragraphe 1 : Problématique
Notre société accorde une grande importance au développement et au bon fonctionnement de notre système de santé. Grâce à la création de l’assurance maladie et du réseau de santé publique, elle tend à ce que tous les membres de la société aient accès aux soins de santé de manière égalitaire. De plus, la qualité des médicaments et des techniques de traitements ne cesse de croître et l’espérance de vie fait de même. En effet, une grande importance doit être accordée au système de santé considérant le vieillissement de la population et les soins accordés à ces personnes. Une question entre en ligne de compte : lorsqu’une personne est entre la vie et la mort, de quelle façon devons-nous la soigner? Devons-nous tout faire pour la garder en vie, ou est-il préférable de la laisser vivre ses derniers moments sans acharnement thérapeutique? Une personne entre la vie et la mort a-t-elle assez de jugement pour prendre des décisions elle-même sur ce sujet? Les progrès technologiques ont-ils réponse à tout? Plusieurs enjeux sont liés à cette question tels que l’acharnement thérapeutique, qui prolonge la vie de manière artificielle, ou encore un enjeu économique, en ce qui a trait au coût élevé des traitements.
D’abord, dans cette dissertation, nous décrirons deux approches en opposition dans le domaine de la médecine, soit l’humaniste et la rationaliste. Chez les humanistes, la chose la plus importante est l’Homme. Ils accordent une grande importance aux connaissances, au respect et à la liberté. En opposition, les rationalistes prônent la raison. Les connaissances acquises grâce à notre raison ont primauté sur toutes autres connaissances. Par exemple, les mathématiques ou tout autre