… à Descartes – Québec, 16 juillet 2013

Monsieur,

Le 17ieme siècle fût autrefois reconnu principalement par son évolution au niveau de la pensée et de l’esprit rationnel. Des grands philosophes tels que: Aristote et Copernic se sont questionnés afin de mieux comprendre le monde. Marqué par le rationaliste, le 17ieme siècle oppose le pouvoir de l’église et le pouvoir de la science. À l’aide de la thèse de Copernic, Galilée arrive à démontrer que la vérité ne se trouve pas dans les saintes écritures. C’est à vous que je m’adresse aujourd’hui mon cher Descartes, de l’époque d’Aristote à Galilée les temps on changés et il en est de même pour votre époque à la mienne.
Aujourd’hui, il y a toujours une distinction entre l’homme et l’animal, cependant cette distinction n’est plus la même qu’à votre époque. Auparavant, vous étiez persuadé que l’être humain se distinguait de l’animal principalement par sa capacité à raisonner. Vous disiez aussi qu’étant donné que l’animal n’a pas la parole ou encore les signes pour s’exprimer celui-ci agit généralement impulsivement et non de façon rationnel. Vous même, Descartes fût le premier surpris lorsque l’animal se lamentais lors d’une séance de dissection, ce qui vous a mener à vos conclusions. Comme Aristote, vous avez commis quelques erreurs qui ont étés démystifiés avec le temps.
Depuis les dernières années, nous avons observés les animaux afin de mieux les connaître et de mieux les comprendre. Je pense qu’à l’heure actuelle, la distinction que vous fessiez entre l’homme et l’animal n’est plus valable pour notre société qui a tant évoluée. En effet, avec les années nous avons appris que les animaux s’expriment dans leur langage bien à eux qui est très différent du notre, nous arrivons à nous comprendre entre nous et les animaux se font comprendre entre eux. (comme les chiens qui jappent afin de se transmettre un message) Votre distinction n’est d’autant pu valable, car nous avons observés les animaux et appris que