Philolo
« L’homme et la bête »
L’Être Humain (Philosophie 2)
Remise: 11 Mars 2015
Par Mathilde Tremblay
L’homme et la bête
La race humaine est un rassemblement complexe; une bande d’individus vivant en société. Chacun vit sa vie, son regard vers le sol en cherchant à ressentir quelque chose dans se monde fade. Mais si il apprenait à lever la tête et regarder autour, regarder la misère, la beauté, le bonheur qui se cache autour, peut-être ressentirait-il quelque chose de plus que le simple plaisir de voir ses souliers bien lacés et cirés. Cette quête d’émotion, nous la suivons tous; nous cherchons l’amour, la joie, la colère et parfois même la tristesse. C’est cela qui nous fait rend particulièrement humain. Est-ce que cela veut dire que l’animal ne ressens pas puisqu’il n’est pas humain? Qu’est-ce qui nous différencient, nous, la race humaine, du règne animal? Descartes et Rousseau ont deux théories très plausibles à ce sujet.
Descartes, grand philosophe français du XVIe siècle, met de l’avant sa théorie que ce qui différencie l’homme de l’animal est sa faculté de penser. Ce n’est non pas le corps, qui est selon lui une machine tout comme celui de l’animal, mais son «bon sens» qui les distingue. Il expose que le corps n’est qu’une machine et que celle de l’homme est habité par de la matière pensante. Cette matière pensante donne l’opportunité à l’être humain de raisonné et d’avoir des opinions, des désirs et des volontés plus élaborés que l’instinct de survie. Pour Descartes, l’homme peut penser et ressentir ce que la bête ne peut faire. Les hommes ont ses capacités donc il sont.
Plusieurs autres philosophes ont exposés leur théorie à ce sujet: celle de Jean-Jacques
Rousseau est particulièrement interessante. Il expose que l’être humain est différent de l’animal par sa capacité à résister à son instinct. Nous ne succombons pas à tout nos désirs et angoisses et savons doser si nous y succombons. Par ailleurs cela apporte à l’humain qu’il peut