La richesse dépend de la liberté des échanges Pour le libéralisme moderne, c'est dans les échanges que se construit le bien commun. Il rejette toutefois l'idée d'une organisation «par le haut» du travail et des échanges. Se référant à l'image de la «main invisible» d'Adam Smith (1776), il préfère penser que les échanges s'autorégulent, l'offre et la demande tendant spontanément à s'entre-équilibrer, sans intervention de l'État. Aussi l'Etat doit-il être, dans le domaine économique, le moins interventionniste possible. Les acheteurs et les vendeurs, libres d'entreprendre, tirent un égal profit de leurs échanges. Échanger, vendre, c'est s'enrichir Puisque l'homme est un être de besoin et de désir, puisqu'il ne peut pas lui-même subvenir à l'ensemble de ses exigences, à la fois vitales, mais aussi affectives, intellectuelles, il tire de ses échanges avec autrui tout ce qui lui manque. Il échange des mots, des choses, des sentiments, des services, et ainsi ne cesse-t-il d'enrichir sa propre existence. Le profit comme but - Analyse marxiste Dans une économie capitaliste, la force de travail est une marchandise comme toutes les autres. Elle s'achète au prix du salaire, et sa valeur dépend de l'état du marché du travail. Plus il y a de chômeurs, plus la force de travail est dévaluée, suivant la loi de l'offre et de la demande. La richesse dépend de la liberté des échanges Pour le libéralisme moderne, c'est dans les échanges que se construit le bien commun. Il rejette toutefois l'idée d'une organisation «par le haut» du travail et des échanges. Se référant à l'image de la «main invisible» d'Adam Smith (1776), il préfère penser que les échanges s'autorégulent, l'offre et la demande tendant spontanément à s'entre-équilibrer, sans intervention de l'État. Aussi l'Etat doit-il être, dans le domaine économique, le moins interventionniste possible. Les acheteurs et les vendeurs, libres d'entreprendre, tirent un égal profit de leurs échanges. Échanger, vendre, c'est