Peut-on tout croire
Proposition de corrigé.
∙ Eléments conceptuels d’analyse du sujet à présenter dans l’introduction :
« Se tromper » ⇒ au sens THEORIQUE = ne pas atteindre la VERITE ⇒au sens PRATIQUE = ne pas atteindre la CSQ VISEE
Certitude → SUBJECTIVE → OBJECTIVE
(( énoncer ces éléments ne donne aps encore la formulation d’UN ou plusieurs PROBLEME(S) = qu’il faudra ARTICULER en PARTANT d’EUX.
⇒ A partir de ces questions-problèmes, s’ensuivra le
∙PLAN, destiné à y répondre :
I. Sens THEORIQUE du pb
1. Cas de la connaissance SENSIBLE :
a) Les données de la sensation semblent se donner à nous avec EVIDENCE (concept à définir)
b) Pourtant, lorsque cette évidence est « SENSIBLE », elle n’est pas totalement fiable : - cas de l’ILLUSION
TRANSITION : face à une illusion, nous pouvons cependant recourir à l’analyse de la RAISON pour corriger notre perception : > nouvelle question problématisante : la RAISON suffirait-elle cette fois pour « être sûr de ne pas se tromper » ?
2. Cas des connaissances purement RATIONNELLES = domaine LOGIQUE :
a) Lorsque l’EVIDENCE est cette fois RATIONNELLE, nous débouchons sur l’INDUBITABLE (Descartes) : alors = certitude totale et définitive ! (cas de de la LOGIQUE)
b) (Renversement) : Et pourtant, si nous faisons place au « DOUTE RADICAL » justement méthodiquement proposé par Descartes en philosophie, cette conclusion n’est-elle pas à nouveau caduque ? (cf. cours : argument du « malin génie »)
c) (Prolongement) Pour Descartes, la « solution » passerait alors par l’acceptation de l’existence de Dieu qui « garantirait » seul, par son « bonté suprême », que notre raison ne nous trompe pas : mais pouvons-nous nous satisfaire sans plus de cette réponse ?
d) Car précisément… la question de savoir si « Dieu » existe ou non n’est-elle pas de celles