D'après Georges Feydeau , « L’argent ne fait pas le bonheur. » On peut voir à travers cette citation que la croissance ne s’accompagne pas toujours d’une amélioration du bien être. Les entreprises peuvent investir et favoriser la croissance pour n’accorder qu’une faible part de la valeur ajoutée à l’augmentation des salaires.
Parallèlement, si la richesse produite est investie dans des transformations de structures économiques et sociales, elle peut favoriser durablement le bien-être et donc mener au développement. Le développement transforme la société et les conditions de vie de la population (industrialisation, exode rural, urbanisation, changements démographiques…).
Le Royaume-Uni le premier, suivi de la France, de l'Allemagne, des Etats-Unis après une industrialisation, on observe une augmentation de la croissance, qui apporte les richesses nécessaires au développement et favorisent durablement le bien être et améliorent les conditions de vie de la population. C'est pourquoi, on peut associer la notion de croissance avec la notion de développement. La croissance économique désigne un processus d'augmentation continue du volume de la production. Autrement dit, on parle de croissance, lorsque le PIB (produit intérieur brut, somme des valeurs ajoutées) d'un pays augmente d'une année sur l'autre, sur de long termes, et donc si la croissance n'est pas en hausse, le développement ne pourra pas augmenter.

On peut donc s'interroger,
Dans un premier lieu,
Dans un second lieu,

Le développement s’accompagne de profonds changements sociaux : modification de la structure et de la hiérarchie sociale, transformation des structures sociales (moyennisation de la société), des systèmes de valeurs (montée de l’individualisme).

Le développement se caractérise donc par des changements structurels qui rendent la croissance irréversible.
Ces changements affectent toutes les sphères de la société : sociale, économique, politique.
En même temps que les niveaux de