Peut-on connaître l'inconscient?
(Travail demandé en cours, avant d'être donné au prof, donc sans correction.)
Cette question ouvre sur une possibilité, un degré de connaissance face à l'inconscient. Autrement dit, il s'agit de s'interroger sur un aspect relatif à notre connaissance face à l'inconscient. Cet aspect relève soit d'une réponse catégorique (oui nous le pouvons, non nous ne le pouvons pas) soit, et ce cas est plus propre à une démarche philosophique, sur une ouverture à un degré de possibilité. La connaissance ou plutôt notre faculté de connaître relève d'un procédé cognitif spécifique à chaque individus ou bien relatif à une mise en relation de réflexions ultérieures. Dans tous les cas, il s'agit de déterminer si nous sommes en mesure d'amener en nous les « clés » de la connaissance face à l'inconscient. La raison, l'expérience, la philosophie doivent être pensés dans une perspective définitoire de l'inconscient. C'est ce point qui semble être le paradoxe même de la question. A ce sujet, le Larousse nous donne plusieurs définitions du terme « inconscient »: « Qui n'a plus conscience de son existence et de la réalité qui l'entoure, qui a perdu connaissance ; évanoui »; «Qui n'a pas conscience de quelque chose, qui ne s'en rend pas compte, par insouciance, légèreté d'esprit, etc. »; « Se dit d'un acte qui se produit sans que celui qui le fait en ait conscience »; « Relatif à l'inconscient ; dans la seconde topique freudienne, se dit aussi bien du ça, du moi, que du surmoi. ». On remarque que l'inconscience travail dans quatre champs. Dans le premier il s'agit d'une conscience révolu: l'individu a eut conscience de son existence, de lui-même mais a perdu cette faculté pendant un certains temps qui peut-être plus ou moins long. Il peut s'agir d'un simplement évanouissement passager (malaise, coma de courte durée...) ou d'un évanouissement de longue durée ( coma prolongé, cerveau endommagé de façon irrémédiable etc...).