Pensez-vous que pour pouvoir aller sur Internet il faille sacrifier sa vie privée, quelles qu’en soient les conséquences ?
Manon Quinti note dans l’Express du 26 Mars 2012 que « vouloir protéger sa vie privée sur Internet, c’est ringard ». Pensez-vous que pour pouvoir aller sur Internet il faille sacrifier sa vie privée, quelles qu’en soient les conséquences ?
Aujourd’hui Internet est une source conséquente d’information, quand on cherche quelque chose quel que soit le sujet on regarde presque systématiquement sur Internet si l’on peut trouver la réponse à nos questions. C’est pourquoi on peut se demander s’il n’est pas désormais possible de trouver des informations personnelles sur notre entourage ou nous-même, alors que l’on ne voudrait pas qu’elles circulent. Ou alors que l’on les a volontairement divulgué dans certaines conditions mais que celle-ci sont utilisés dans un contexte différent. C’est pourquoi dans un premier temps nous allons vous montrer que pour pouvoir aller sur Internet il faut sacrifier sa vie privée mais dans un second temps nous montrerons qu’il est tout de même possible de protéger sa vie privée sur Internet.
Comme l’a écrit Manon Quinti, si l’on veut protéger sa vie privée sur Internet c’est ringard, en effet aujourd’hui nous sommes dans une époque où l’on doit se montrer, il est devenu banal de raconter sa vie dans les moindres détails, notamment grâce à l’utilisation de réseaux sociaux qui ont accentués, voir qui ont peut-être même créés cette tendance. Si l’on n’est pas ce genre de personne, on est considéré comme démodé, car partagé sa vie privée aux yeux de tous c’est devenu la chose à faire, et quand on ne fait pas comme tout le monde, on n’est pas forcement bien considéré par les autres. C’est peut-être pour cela que beaucoup de personnes sacrifient leur vie privée (le synonyme de sacrifier est se conformer), pour être accepté par leurs amis, leurs collègues ou tout simplement pour faire comme tout le monde. Donc les gens se disent autant sacrifier ma vie privée, tout le monde le fait, alors je