Paul bernard, la vitidoyer et la vivition
1306 mots
6 pages
Paul Bernard 19e siècle, physiologiste, médecin, fondateur médecine expérimentalePlaidoyer, réédition de son œuvreLe texte traite de l’experimentation sur l’homme et l’animal,nécessité de la vivisection, opération sur un être encore vivantL’auteur soutient que c’est acte nécessaire à la compréhension de la vie et du fonctionnement des machines vivantes, sujet très polémique à l’époque, religion, le monde mondain contre tant de souffrance, les scientifiques à part,Le texte s’organise sur une succession
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La dernière met le lecteur face à un faux dilemme. Sacrifier l’homme ou l’animal. L’auteur expose de nouveau son opinion et en appelle à la morale pour choisir. Il dépeint les médecins qui ne pratique peu ou pas la vivisection animale comme négligeants ce qui lui permet d’apparaître censé et scrupuleux en comparaison. Finalement, l’auteur déduit de l’immoralité de sacrifier un homme pour le bien commun la moralité de sacrifier l’animal pour ce même bien commun. On notera l’exagération sur la moralité de l’acte avec l’adverbe essentiellement alors que la souffrance et le risque pour l’animal est connu et réel. Bernard pose cette fois-ci une question rhétorique à son auditoire. Il en vient à parler de ses …afficher plus de contenu…
Il est ainsi seul juge de lui-même ce qui laisse le champs libre à Claude Bernard pour pratiquer la vivisection sans limite sur l’animal.En conclusion Claude Bernard, créé une interaction avec son lecteur par une série de questions argumentatives et rhétoriques. Ces questions donnent l’impression d’un cheminement logique mené par celui qui le lit jusqu’à la conclusion en faveur de la thèse de l’auteur qui est en somme qu’il est acceptable d’infliger des souffrances menant à la mort à des animaux pour le bien commun et la connaissance scientifique.Claude Bernard dit « Dans la science, c’est l’idée qui donne aux faits leur valeur et leur