Patrimoine europeen
Maintenant, grâce à des transformations institutionnelles et législatives, à des grands événements culturels, à des « affaires » même, la valorisation des éléments provenant du passée historique semble s’avoir modifié selon les lignes d’une nouvelle sensibilité. Il est peut être le cas de s’interroger sur les ressorts profondes et lointaines dans le temps d’un phénomène pareil. Il s’agit bien donc du processus qui a mené à la constitution et à la définition des premières essaies de protection de l’héritage historique, compris dans une formule nouvelle qui appartient à une pensé moderne.
Si on jeté un coup d’œil sur la situation globale, la Roumanie bénéficie des structures institutionnelles et d’un cadre législatif qui permet aux autorités publiques d’agir dans le sens de la valorisation culturelle des monuments, des sites archéologiques ou des collections : depuis l’an 2000 - mise en place et modernisation de législation nationale ; en commençant avec 1991 - inscription sur la liste du patrimoine mondial des 7 sites, dont 6 sont des sites culturels ; ratification des conventions internationales établies par UNESCO ou par le Conseil d’Europe dans le domaine du patrimoine. En plus, au niveau des institutions centrales et locales, on constate une activité nettement plus poussé en ce qui concerne les préoccupations liées à l’héritage local et