PASSANT

260 mots 2 pages
Du début jusqu’à la fin de son poème, Victor Hugo parle par d’une jeune fille du travail dans les mines en le dénonçant comme étant un travail fatiguant et extrêmement dangereux : « Mon grand-père était mort, tué du feu grisou. Mon petit frère était boiteux d’un coup de pierre » (v10 et 11) ; « On travaille à genoux dans le puits. C’est glissant ». Il utilise aussi la métaphore « La mort fait un grand bruit quand tout à coup elle entre » pour accusé cet effet de dangerosité. De plus, il utilise des antithèses comme au vers 29 : « On sue, on gèle » et « on a chaud, on a froid » ainsi que des métaphores filées « Sitôt qu’on est sous terre on devient des fantômes ». Hugo cherche à attirer l’attention du lecteur sur la misère de la jeune fille grâce à différents procédés d’écritures. Par exemple, au vers 3, la petite fille rectifie « le passant » en soulignant la présence de la misère représentée ici sous la forme de la mort : « On ne s’est pas battu, l’on a tué ». Il y a aussi la présence du champ lexical de la misère avec des mots comme « galérien » (v6) ; « on rampe » (v21) « paysans » (v32). L’auteur fait aussi apparaître la misère avec la présence de la famine « Comme on manquait de pain, on mâchait du charbon » (v14) ; « Aussi, vous le voyez, monsieur, je suis très maigre ».Après une description atroce de la vie de cette jeune

en relation

  • OPPOREF
    6247 mots | 25 pages
  • FESTYVET
    1244 mots | 5 pages
  • PIAGET
    994 mots | 4 pages
  • SPIE
    389 mots | 2 pages
  • DERAMBUREMED
    6140 mots | 25 pages
  • PONT
    16786 mots | 68 pages
  • PLESSISVILLE
    815 mots | 4 pages
  • Commentaire composé le passant-la passante
    493 mots | 2 pages
  • THEATRE
    2055 mots | 9 pages
  • PAIE
    6770 mots | 28 pages
  • THEATRE
    546 mots | 3 pages
  • Le crapaud de victor hugo
    392 mots | 2 pages
  • PRINT
    1366 mots | 6 pages
  • Analyse de poème "la nature" de Victor Hugo
    813 mots | 4 pages
  • PARNESS
    877 mots | 4 pages