Pas important
D’une part, abordons la réalité que vivent les maîtres et leur serviteur. Depuis très longtemps, les maîtres dominent leur serviteur et l’espoir que cette situation change n’est pratiquement pas envisageable. Tout d’abord, voyons la relation hiérarchique de ceux-ci. En effet, peu importe le milieu social d’où ils viennent, il y a toujours eu des gens dominants; la nature humaine est ainsi faite. Dans le texte, M. Diderot affirme, « ligne 20 » (ligne 20). Les hommes qui sont faibles, pauvres et pas autoritaires sont tout simplement des chiens qui, contrairement à eux, sont des hommes qui possèdent plus de pouvoir et d’autorité. De plus, par un parallélisme, « ligne 41 » (ligne 41 à 42), il démontre que malgré l’ambigüité du pouvoir de Jacques sur son maître, les relations hiérarchiques demeurent. D’ailleurs, il dit, « ligne 12-13 » (ligne 12 à 13). Il n’y a pas juste les valets qui sont des chiens, il y a aussi les maîtres. Tout le monde est le chien de quelqu’un sans exception. Par la suite, quand est-il de l’obéissance des valets vis-à-vis de leur maître? En ce temps-là, les valets n’étaient là que pour servir leur maître. Pour cette raison, Jacques déclare « ligne 3 » (ligne 3 à 5). Les chiens, qui sont les serviteurs, sont des personnes qui font des tours pour servir et plaire à leurs maîtres, mais ils ne sont souvent pas heureux dans cette