Partie 3 sur le coût du travaille
Introduction :
De nos jours les pays émergents ne manquent pas de main d’œuvre et donc sont en attentes d’emplois. De plus cette main d’œuvre est bon marché se qui signifierait un cout du travail moins élevé. Mais. Selon l’INSEE, en 2012, 53% des délocalisations d’entreprises se feraient entre pays développés (cf.doc1). Étonnant n’est-ce pas ? De ce fait une question récurrente se pose. Dans quel cas le cout du travail est-il un déterminant de la localisation géographique des entreprises ? D’autre facteur peuvent-t-il jouer un rôle sur la localisation géographique des entreprises ?
Dans un premier temps nous verrons que le cout du travail est un déterminant essentiel de la localisation géographique. Et dans un second temps nous démontrerons les autres facteurs jouant un rôle sur la localisation géographique.
Dans un premier temps, nous remarquons que le cout du travaille est le principale facteur que les entreprises prennent en compte avant la délocalisation. Je le rappelle 53% des délocalisations d’entreprises se feraient entre pays développés. 4.2% des sociétés marchandes non financières de 50 salariés ou plus ont délocalisé (totalement ou partiellement) au moins une activité.
-55% des sociétés ayant effectués une telle délocalisation l’ont fait, au moins pour partie, vers l’Union européenne. 18% vers la Chine et L’Inde et 8% vers les Etats-Unis et le Canada. Entre 2009 et 2012 (cf.doc2).
Ce constat
Ont observe aussi qu’au sein de la zone euro les couts du travaillent sont beaucoup plus faibles dans les pays pauvres tel que la Roumanie où le cout total horaire de la main d’œuvre en 2012 vient à être payé 5 euros par jours. Tandis que dans les pays riches comme la Norvège elle est payée environ 45 euros par jours (cf.doc3). Donc, pourquoi ne pas délocalisés vers les pays pauvres ?