Paragraphe argumenté
Introduction : Hannah, première femme de Maxime, soupçonne d'entretenir des sentiments amoureux à l'égard de Tania, sa belle sœur. A cause de l'occupation Allemande, Maxime est parti dans la Creuse, pour préparer la venue d'Hannah et Simon. Maxime se retrouve là-bas et quelques jours plus tard Tania le rejoint. Maxime informe Hannah de sa venue par courrier. Celle-ci part bientôt, accompagnée de la sœur de Maxime, Esther, et de Louise. Il ne leur reste plus que quelque kilomètres avant d’être enfin libres. Ils font une halte dans un café, Hannah et Simon assis à une table et Louise et Esther, assises à une autre table éloignée d'eux. C’est alors qu’intervient un contrôle de police. Esther et Louise présentent des cartes d’identité trafiquées d’où toute mention de leurs origines juives a disparu. Quant à Hannah, elle, agit de façon différente, elle sort d’abord sa carte d’identité trafiquée avant de montrer l’original barré de l’indication de ses origines juives. A ce moment-là, l’enfant prénommé Simon qui lui, était aux toilettes, revient. Hannah précède la question des officiers en indiquant qu’il s’agit de son fils.
Alors qu’Hannah à montré l’original barré de l’indication de ses origines juives aux officiers Allemands, elle se fait arrêter et disparaît avec son fils durant la nuit. Elle aime son enfant mais le fait mourir. Elle commet un acte de suicide pour en quelque sorte « vivre » car elle sait que sans son mari elle n’est plus la même, elle n’a plus le sourire, ni même la joie de vivre. D’ailleurs, nous pouvons le voir sur son expression, elle est perdue et désespérée. Elle a le teint blême et l’esprit ailleurs. Mais cet acte de suicide qui est censé la faire « vivre » va aussi la faire mourir. Elle se condamne pour vivre mais se tue en même temps par la même occasion. Là où tout est le paradoxe. C’est terrible. C'est un acte de désespoir profond. Elle tombe toujours un peu plus bas, plus rien ne l’attire ici. Elle ne parle presque