paneloux
Finalement dans la quatrième parties , L'abbé se retranche dans la solitude de sa foi, et meurt sans avoir sollicité de médecin, en serrant fiévreusement contre lui un crucifix .
Dans son roman il symbolise l'attitude de la foi en présence du mal. Au début, il est sûr de lui, comme le montre son premier prêche
En premier lieu, lors de son premier prêche, il se sert de la peste pour essayer de convertir les Oranais ou de renforcer leur foi en son dieu. En effet, il dit que la peste est une punition collective car les hommes ne sont pas assez croyants. Par de nombreux exemples, il explique qu’à l’origine la peste attaquait les ennemis de dieu et que le moment de réfléchir est venu. Pour lui, la peste est un « cadeau » de dieu : Les justes, les fidèles, n’auront rien à craindre tandis que les orgueilleux, les méchants et les pécheurs seront punis par celle-ci. Il se veut persuasif et il va utiliser toujours le pronom « vous » lors de son prêche car je suppose que en étant prêtre et donc proche de Dieu, il ne se sent pas concerné par cette punition divine.
En second lieu, il va y avoir la mort du fils du juge Othon. Pendant cet événement, Paneloux va douter de sa foi car il voit sous ses yeux en enfant innocent subir de nombreuses souffrances à cause du « cadeau de Dieu ». De plus, cet enfant aura souffert plus longtemps que les autres car le docteur Rieux essaiera de le soigner avec le nouveau vaccin qui