Page De Synthese
Introduction :
Il y a plusieurs années, les parents devaient se plier au bon vouloir de l’officier de l’état civil : il accepter ou refuser le prénom pour le nouveau-né ! Aucune fantaisie n’était permise. En 1993 l’article 57 permet le libre choix des prénoms en France. Ils peuvent pousser les parents à changer d’avis.
J’ai choisi de présenter « Le choix des prénoms » car ce sujet m’intéresse.
Comment un prénom peut il être refusé ?
Apres avoir défini l’article 57 et l’article de presse sur l’affaire Daemon. Dans la première partie je parlerai de l’intérêt de l’enfant et dans la deuxième partie je parlerai de certains cas exceptionnels et pour finir je conclurai.
Partie 1 : L’intérêt de l’enfant
Même si la loi s’est assouplie, des limites sont posées pour éviter les abus. Les prénoms qui «paraissent contraires à l'intérêt de l'enfant» sont interdits. De quoi s’agit-il ? Des « prénoms ayant une apparence ou une consonance ridicule, péjorative ou grossière, ceux difficiles à porter en raison de leur complexité ou de leur référence à un personnage déconsidéré dans l'histoire. »
Ces garde-fous sont indispensables, car depuis la nouvelle loi de 1993, certains parents rivalisent d’imagination pour créer des prénoms, qui parfois ridiculisent leurs enfants.
Un des prénoms peut être dur à porter, ou l’association de deux prénoms, ou du prénom et du nom de famille (comme Mégane Renault par exemple) : tout est question d’interprétation.
Partie 2 : Certains cas exceptionnels
- Si une femme choisit d’accoucher anonymement, « sous X », elle peut néanmoins faire savoir les prénoms qu’elle souhaite donner à son enfant biologique.
- Si un enfant n’est reconnu ni par sa mère, ni par son père, ou que ceux-ci ne sont pas connus, c’est l'officier de l'état civil qui choisit trois prénoms. Le dernier prénom tient lieu de nom de famille pour l'enfant.
- Une personne peut choisir de se faire appeler, dans la vie de tous les jours, par n’importe quel des