LE CAS DE LA SOCIÉTÉ PACCAR
DÉFINITION DU PROBLÈME
Lock-out dans à la usine de Saint –Thérèse, le 1er décembre 2004. Par la société Paccar représenté par Gilles Gervais, directeur de l`usine. Décision à cause de la convention collective et leurs conditions de travail que demande le syndicat. Le syndicat a déposé 75 demandes d`ajustement à la convention collective imposée pour Paccar en 1997 ; seul une douzaine de points, d’ordre mineur, on fait objet d`entente.
Deuxième lock-out après 1999, avec 140 millions de dollars ont été investis pour assurer la réouverture de l`usine. Aujourd’hui`hui cela à la fine pointe de la technologie et el plein expansion. Sa modernisation a permis réduire le temps de assemblage des camions de 33%, et de réduire les coûts d`assemblage de 38% et le nombre de accidents a chuté de 80%.
Après trois jours de fermeture; les employés ont accepté les offres patronales dans une proportion de 81%. Ils sont obtenu un contrat de cinq ans, une augmentation globale de 12% et certaines améliorations aux régimes de retraite et à d`autres avantages sociaux. Cependant, ils n`ont pas reçu les améliorations attendues sur l`ancienneté et la représentativité syndicale.

MODELE DE GESTION
Le cas montre qu`il n`y a pas d`empathie des dirigeants vers aux employés.
Malgré les tentatives de négociation proposée par le syndicat, la société Paccar ne prendre pas importance à ses besoins.
A mon avis ce type d`entreprise est de Système Autoritaire selon Liker; mais apparemment selon le directeur de l'usine, M. Gilles Gervais, montre un Système différente avec ses sept points du changement organisationnel : santé et sécurité du travail, qualité du travail, respect mutuel, communication, travail d`équipe, amélioration continue et satisfaction du client.

Système autoritaire parce que :
Les dirigeants utilise les menaces et les sanctionnes : Décréter Lock-out à l`usine de Sainte-Thérése.
Pauvre communication, du haut vers le bas : la partie