François HOLLAND et Joachim GAUCK ont célébrés la mémoire du massacre d’Oradour-sur-Glane survenue le 10 Juin 1944. Cependant cette mémoire officielle est contestée par les négationnistes.
En quoi cet extrait de texte témoigne t-il des divisions que peuvent susciter le travail sur la mémoire ?

Le document est un texte de Vincent Reynouard de 1997 et qui a été posté par « bibliothèque de combat » le 23avril 2013. Ce texte est intitulé « le massacre d’Oradour-sur-Glane » qui se déroula le 10 Juin 1944. Dans ce texte Vincent Reynouard déplore les conditions du massacre.
Dans une première partie il convient de montrer les causes et les conséquences de ce massacre. Le massacre se passe durant la seconde guerre mondiale (1939-1945). Se sont ‘les SS qui ont massacré plusieurs centaines de femmes et d’enfants ’ (l.1-2) avec la participation de 13 malgré-nous, se sont de jeunes mosellans enrôlés dans l’armée allemande et envoyés sur le font de l’EST et en France en 1944. Cette expression nait en 1942 après que l’Alsace et la Moselle soient annexées à l’Allemagne nazie. Le principal acteur du massacre de 644 villageois d’Oradour-sur-Glane est la division Das Reich. De plus Vincent Reynouard cherche à établir une mémoire commune car les faits se sont déroulés bien avant la rédaction du texte, il a suffisamment de recule par rapport au massacre. Il n’interroge sur les causes de l’incendie volontaire qui a causé la mort de plusieurs centaines de civiles sans distinction d’âge ou de sexe.
Cependant les responsables du massacre ne sont pas restés impuni. ‘Depuis 1944 […] alsaciens’ (l.19-21). Il s’agit du procès de BORDEAUX qui les condamne. Le procès jugea les officiers et les soldats de la division ‘das reich’. L’historien Vincent Reynouard situe le procès dans un contexte violent. Il parle de ‘débâcle allemande’, ‘de la déliquescence des autorités issues de la défaite’ (l.22).
Le procès d’Eichmann en 1961 met fin au grand silence et le travail de mémoire peut