One shot
« Bianca, comment vas-tu ? Habites-tu toujours au 67 rue des Olmiers ? Et Penny ? As-tu toujours Penny ? Réponds moi bientôt. Tu me manques Bibi.
Thomas. »
Comment ce « Thomas » connaissait-il mon adresse ? Et qui était « Penny » ? Alors que je réflechisait, ma mère me cria de venir souper. Je descendit et m'assit à table. Nous mangèrent calmement, jusqu'au moment où je demandai si je pouvais aller à la fête qui ce tenait ce soir. Mon père refusa catégoriquement, disant que je devais faire le ménage de ma chambre. Je lui hurlai que c'était injuste, que je le détestait, et je partie dans ma chambre. Je frappai dans mon oreiller jusqu'à ne plus avoir de forces. Je commençai ensuite le ménage, car ma chambre en avait bien besoin. Après quatre heures, au minimum, tout était fini, ou presque. Il ne restait plus que mon garde-robe, pleins à craquer de boîtes diverses. Photos, vêtements, draps... Je triai tout. Au fond, une petite boîte tout poussièreuse, identifier
« Penny ». J'allai enfin savoir qui était Penny ! Je l'ouvrit précipitemment, découvrant à l'intérieur une vieille peluche. Une peluche décolorée, trouée, décousue. Une peluche qui me livra un flot souvenirs datant d'il y a longtemps. Je devais avoir à peine 5 ans.
«- Bonjour. Moi, je m'appelle Thomas.
- Moi, c'est Bianca.
- Tu veux m'aider à finir mon château ? Après, tu sera la princesse, et je serai le chevalier qui va venir te délivrer ! »
«- Bibi ! Joyeux anniversaire. Tiens, c'est ton cadeau.
- Oh Thomy ! Une peluche ! Je vais l'appeller Penny. »
«- Thomy ?
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