On being sain in insane places – David Rosenhamham
Les psychiatres et plus généralement le personnel soignant dans un institut de soin psychiatriques sont-ils capables de distinguer des patients sains des patients malades mentalement ? Il met par ailleurs en exergue l’idée que ces diagnostics impliquent une stigmatisation. Elles ont en outre des conséquences tant l’étiquettes posée par le diagnostic impact l’I, tant d’un pdv inter personnel et social que personnel.En soulignant tout de même que ces deux « types » de patients ont pour points commun d’avoir été tout deux diagnostiqués lors de leur prise en charge au sein de l’institut, mais la différence étant que les patients sains « simulent » une pathologie en vue de leur diagnostic …afficher plus de contenu…
Tous les pseudo-patients prenaient des notes de manière régulière. Et si des précautions avaient été pensée afin que la prise de note ne suscite pas trop de soupçon, ceux-ci se sont avérés inutiles tant le personnel soignant ne s’est pas manifesté contre ou n’y ont pas prêté intérêt. Cette activité a d’ailleurs été interprété comme faisant partie de leur comportement pathologique par plusieurs dossiers. Seulement, la prise de note n’est pas le seul comportement interprété sous la prise de la psychopathologie. Rosenhan précise que les notes des pseudo-patients sont « pleins de comportements de patients qui ont été mal interprétés par le