On a définis le romancier comme « l’historien du présent ».
L’histoire est faite pour être écrite puis racontée et ainsi passer un message. Ainsi, on a définis le romancier comme « l’historien du présent ». En effet, le romancier raconte son présent qui devient notre histoire, de plus il le fait avec une fidélité de la réalité qui le transforme en historien. Le romanciers est il un historien ou un critique de la société ? Le romancier réaliste plus que les autres s’appuie sur des faits de société, en effet ce dernier doit être le plus proche de la réalité comme l’indique son nom. C’est pourquoi nous allons étudier les différents éléments permettant cela.
Dans les différentes œuvres réalistes l’auteur explique son présent ; qui est maintenant de l’histoire. Il utilise différentes techniques, tout d’abord, l’auteur est très objectif dans ses romans. En effet, une grande partie des ouvres sont de la description de lieu par exemple dans la bête humaine, Zola passe près de 100 pages à nous situer géographiquement a nous décrire les paysages. Celui où il passe le plus de temps est sur la description des gares. Cela le transforme en historien car il ne prend pas de point de vue c’est comme s’il découvrait ces lieux et qu’il nous retranscrivait ce qu’il voyait. L’auteur décrit tous avec l’exactitude d’un spécialiste… En effet Zola dans la bête humaine décrit le fonctionnement des trains très précisément (par exemple lorsque la Lison est détruite, il mentionne les différentes pièces). Maupassant décrit également la voiture dans aux champs. Cela donne une forte crédibilité aux auteurs et appuie le fait qu’ils soient des « historiens ». Les auteurs ont un très grand souci du détail, ils décrivent ce qu’ils constatent autour d’eux. Que cela soit bien à écrire ou terrible. Je pense par exemple au roman de Zola : Nana. Dans ce roman il décrit l’aspect d’une femme : Nana, alors qu’elle a une maladie qui la déforme par différentes pustules, boutons, plaies etc.… Cela est répulsif cependant