Nu au théâtre

314 mots 2 pages
Article
« Tout nu or not tout nu : nudité au théâtre et au cinéma » Marco de Blois
Jeu : revue de théâtre, n° 88, (3) 1998, p. 114-117.

Pour citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/16434ac Note : les règles d'écriture des référencesbibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.

Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URIhttp://www.erudit.org/apropos/utilisation.html

Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des servicesd'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : erudit@umontreal.ca

Document téléchargé le 22 May 2012 07:40

M A R C O DE BLOIS

Tout nu or not tout nu
Nudité au théâtre et au cinéma

O

n ne déshabille jamaisquelqu'un pour rien. Sur scène comme devant la caméra, porter un vêtement ne nécessite aucune justification narrative puisque cela répond au sens commun - on se demandera plutôt quel vêtement porter. Cependant, se mettre tout nu au théâtre ou au cinéma, voilà qui va à l'encontre de lanorme et crée une sensation. On ne déshabille jamais quelqu'un pour rien, comme ça, par désintérêt : notre société est ainsi faite. Pourquoi alors déshabille-t-on les acteurs ?

La nudité au cinéma est presque aussi vieille que le cinéma lui-même. Des historiens - Jean Mitry notamment -rappellent que l'invention des frères Lumière aurait rapidement donné l'idée à quelques « tordus » qu'ils pouvaient l'utiliser pour enregistrer le spectacle de la nudité. Or, pourquoi ne semble-t-il pas y avoir semblable apparition précoce, préhistorique, de la nudité au théâtre

en relation

  • Macbett / macbeth
    6489 mots | 26 pages
  • Student
    7242 mots | 29 pages
  • rapport de force
    1040 mots | 5 pages
  • c'est une blague
    4434 mots | 18 pages
  • Marthe robert
    2237 mots | 9 pages
  • Suicide
    2268 mots | 10 pages
  • tenue de ville
    1643 mots | 7 pages
  • Mg2013
    2117 mots | 9 pages
  • Anthologie poétique sur le temps
    6460 mots | 26 pages
  • Points de suspension
    8456 mots | 34 pages
  • Commentaire du chapitre 18 du prince de machiavel
    8787 mots | 36 pages
  • Semiotique de la culture
    5942 mots | 24 pages
  • 013602Ar.pdf
    6617 mots | 27 pages
  • dynamique urbaine
    5945 mots | 24 pages
  • Machiavel et politique
    1725 mots | 7 pages