A la fin des années 1880 dans un riche château près de castres vivait un jeune couple. Ils semblait très heureux et tout le village alentour enviait leur bonheur. A l'occasion de leur premier anniversaire de mariage, ils décidèrent de donner un bal. Ils invitèrent amis,voisins,tous les habitant du village. Tout était près pour accueillir leurs invités, certain de marque,des barons,des ministres et toute la bourgeoisie alentour; tous avait répondus a leurs invitations, nombreux viendrait,les mariés était comblés. Mais le soir venu la jeune épouse disparut, on la chercha désespérément. Malgré le nombre d'invités on ne pouvait explorer le château en entier du fait de ses innombrable couloirs. Alors que l'homme en pleur crier désespérément le nom de sa douce, on entendit un cri a vous glacer le sang provenant d'une chambre a l’étage. Tous s'était précipité dans l'attente d'une réponse, le premier à avoir découvert la véritable nature de ce funeste appels était le veuf. Elle était là, sa femme, son épouse, sa seule raison d'être, allongé avec une expression d’effroi sur le vissage. Une lettre dans une main, un poignard dans l'autre, le ventre dégoulinant de sang qui ne chercher qu'a sortir de ce corps sans vie. Un parfum légers de rose ce propager dans la pièce,personne ni fit attention, soudain un invité ce détacha du groupe et dit ce que tout les autres invités penser sans jamais oser le dire en la présence du pauvre mari:
_ C'est un suicide, cela ne fait aucun doute!
Le mari encore sous le choc ce mit dans une rage si grande qu'il fit peur a tout les invités et fit taire chaque sons du château.
_ Qui oses parler comme cela juste en face du cadavre de mon épouse!
_ Ne vous m'était pas en colère, dit l'homme sur un ton paisible, presque un chuchotement
_ En colère! mais j'ai toute les raisons valable de me mettre en colère!
_ Allons,allons ne soyer pas prompt a commettre vous aussi une bêtise, toujours sur ce ton très doux qui vous nargue
_ Une bêtise