Nourrir 9 milliards d’hommes en 2050 : un défi pour la plante ?
INTRO :
En 2050, la planète comptera 9 milliards d'individus, soit 2 milliards de plus qu'aujourd'hui à nourrir. De plus la sécurité alimentaire est loin d'être acquise et, pour que tout le monde puisse manger, il faudra doubler la production agricole mondiale. Mais face à de nouvelles contraintes, les solutions qui ont permis d'augmenter la productivité de l'agriculture au XXe siècle montrent actuellement leurs limites. Il faut réduire les inégalités entre les pays du nord, qui consomment énormément d’énergie, et de ressources de la planète, et les pays du Sud souvent, en manque d’eau ou de nourriture. Il faut également modifié la répartition des terres entre les populations, heureusement certaines organisation comme la FAO s’engage au défi posé à la planète.
Conclusion :
Avec les progrès de l'agriculture, on a longtemps espérer qu'au 21è siècle, on ne parlerai plus de faim dans le monde. Ce n'est pourtant pas le cas. L'ONU estime qu’encore une trop importante partie de la population mondiale sont sous-alimentés, environ plus d'un milliard d'Homme. Cet sous alimentation touche surtout les pays du sud, bien que certaines parties des pays du nord peuvent également en souffrir. Il faut donc nourrir correctement une population en augmentation constante et lui fournir un approvisionnement convenable en eau. Pour cela la consommation de masse, le productivisme agricole et l’aggro-businness œuvrent vers une agriculture durable , qui pourrait améliorer la maîtrise de l’eau et développer les échanges entre le Nord et le Sud. Si autant d’hommes aujourd’hui ne disposent pas de nourriture et d’eau en quantité et de qualité suffisantes, c’est pour diverses raisons : des handicaps naturels, une croissance démographique qui augmente beaucoup plus rapidement que les disponibilités , un manque de moyens techniques lié à un faible