Méthodologie pour l'histoire du droit
Ce n’est pas une matière, discipline juridique qui englobe toutes les matières du Droit. C’est toutes les matières du Droit prises dans un contexte historique.
On va en faire pendant toutes nos études.
En première année on va faire : de l’étymologie (ex : institutions vient des verbes latins « instituo,e » qui veut dire fonder, organiser et « sto » qui veut dire durer, rester ça donne à institution le sens de rester, durable ).
Le programme est large, vaste. Donc en première année on restreint. On va donc principalement étudier les institutions publiques.
« Les institutions politiques c’est tout ce qui attrait à cet art de bien gouverner la cité. » Aristote.
L’Etat n’existe pas. Ça pose un énorme problème. On se rallie donc uniquement au mode de gouvernement.
Depuis le baptême de Clovis, le monde dans lequel nous vivons est u monde profondément chrétien. ON va donc devoir avoir des notions religieuses : relations entre la religion et l’Etat, notions de base etc.
Il est impossible de parler de l’Etat sas parler de l’économie et de la société. Et de la famille, par exemple on pourra parler du mariage.
Le problème de l’histoire de Droit c’est le problème d’identification de la matière. On ne se rend pas compte de quelle matière de l’histoire de Droit on étudie, pourtant il va falloir apprendre à faire la différence car la méthode n’est pas la même.
Les règles de Droit évoluent énormément dans le temps, elles sont très nombreuses : problème de source du Droit.
Le continum historique (l’histoire ne s’arrête jamais) est un guide.
« Ubi societas, ubi jus » : où est une société, là se trouve du droit (en latin). Ce qui fait que dès la Préhistoire, on a du Droit. En général on fait véritablement commencer l’histoire du Droit quand on a des traces écrites, donc quand l’écriture a été inventé (il y a 5000 ans). Ce qui fait que dans les programmes on travaille sur