méthode des couts complets
En ce qui concerne les coûts partiels, cette partie du programme STG n’est pas particulièrement innovante. Il s’agit finalement de l’ancien programme STT relatif à la diversité des coûts, aux coûts partiels et à leurs utilisations.
Les méthodes de coûts partiels n’incorporent qu’une partie des charges dans les coûts. Diverses modélisations de l’entreprise donnent un support théorique à ces méthodes. Elles facilitent les prévisions de coûts et de résultats en fonction de l’activité prévue.
Seul le modèle « coût – volume – profit » figure au programme de la classe de terminale en Comptabilité et Finance d’Entreprise. De plus ce programme limite l’analyse de la relation coût – volume - profit au contexte de la mono activité sans variations saisonnières.
Ce modèle élémentaire « coût–volume–profit » repose sur la distinction entre charges variables ( supposées proportionnelles aux volumes vendus) et charges fixes (indépendantes du niveau d’activité).
Les comptabilités organisées selon la méthode du coût variable fournissent les paramètres ( taux de marge sur coût variable, coût fixe) de ce modèle et mettent en évidence le seuil de rentabilité.
Il ne faut cependant pas confondre cette méthode du coût variable avec le modèle « coût – volume – profit ».
La méthode du coût variable est ici celle connue sous le nom de « direct costing ». C’est une méthode comptable qui n’incorpore aux coûts que les seules charges variables, à l’exclusion de toute charge fixe. Cette méthode ne fait pas partie du programme.
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De même, deux autres méthodes sont exclues du programme :
La méthode du coût spécifique qui incorpore non seulement les charges variables mais aussi les charges fixes spécifiques aux produits ou activités.
Le modèle marginaliste qui donne