Guilhem Remburre
Thomas Thebaud
Ahmed Bennani
Alexis Saint-Pierre
Français

Pour fonder l’éloge de la liberté critique dans ces textes, Montaigne se sert de son âge avancé et du faite qu’il se soit retiré de la vie publique, il le dit clairement dans le chapitre de l’oisiveté. Dans ce chapitre il parle des champs en friches qui sont une comparaison à la mémoire ou à la sagesse de la personne.
Montaigne montre aussi que beaucoup de savoir engendre la perte de l'âme dans ce savoir inutile. Cette idée se retrouve dans l'institution des enfants où il dénigre le fait de posséder un grand savoir mais un savoir uniquement récité l-62 ‘‘Qu'il ne demande pas seulement compte des mots de sa leçon mais du sens et de la substance. ’’ L’auteur tente ici de faire comprendre que le savoir doit être compris et non faire l'éloge d'un bourrage de crane, cette éducation Montaigne l’a subit et par l’écriture il peut la remettre en cause.
Montaigne nous explique aussi que ce savoir dois être utile a soi-même mais aussi au autre comme il est montré dans le texte "du Pédantisme" Montaigne, qui parle a travers Cicéron "car il ne suffit pas d'acquérir la sagesse, il faut en profiter". Seulement la sagesse dois être et partagée car celle ci vient d’autre personnes qui eu l'on appris de d’autre.
Dans le chapitre "Coches", ce fait est remis en cause car les conquistadors occidentaux sont enfermés dans leur savoir et le garde pour eux, alors que les habitants du nouveau monde sont ouvert, montré par le passage avec le cheval où ils étaient extenué devant celui-ci mais aussi la perte de leurs savoir par la soumission a la cultures occidentales et qui se rapporte lui à l'oisiveté et a l'éducation des enfants par un gavage livresque de sagesse inutile.
Ce sont tous ces arguments qui permettent à Montaigne de faire l’éloge de sa liberté critique dans ces