Moyennisation
De nos jours, face à cette crise sans précédent, le phénomène de moyennisation est remis en cause dans la mesure où de nombreux débats se sont intensifiés, par exemple, les revenus du travail, les écarts de revenus patron-salarié (parfois 400 fois supérieur). C’est pourquoi un autre phénomène plus ancien est alors remis en question: la moyennisation. Le phénomène de moyennisation est plus ancien dans la mesure où, déj) dans les année 1960, on débattait de l’intégralité des classes populaire. Il repose sur une atténuation des disparités socio-économiques, une homogénéisation des mœurs, une formation de la classe moyenne.
Ainsi la moyennisation est-elle toujours une réalité ?
Il sera vu dans un premier temps le phénomène de moyennisation en France, puis, ses limites.
Tout d’abord il est question de la moyennisation en France, il faut savoir que la moyennisation est l’idée selon laquelle on assiste à une atténuation des clivages sociaux accompagnée d’un gonflement des couches sociales intermédiaires ou « moyenne » La moyennisation est un sujet très discuté, analysé depuis plusieurs années. Les deux analyses les plus marquantes pour la société française sont celle de Tocqueville et de Mendras.
Pour Tocqueville dans De la démocratie en Amérique, une société démocratique doit garantir l’égalité des chances et donc permettre la mobilité sociale ou promotion sociale. La république française dans son fondement répond normalement à ces aspirations.
Henris Mendras qu’en a lui durant la seconde révolution française en 1988, montre comment la moyennisation de la société conduit à réactualiser les analyses en termes de stratifications sociale. Il reconnaît qu’au début du XXeme siècle, il existe quatre grands groupes sociaux : la bourgeoisie, les classes moyennes, les paysans, les prolétaires.
Ces groupes sociaux ces groupes étaient très fermer, cette situation aujourd’hui d’après Mendas n’existe plus