Montaigne - des coches
Les indiens sont traumatisés, par les chevaux ligne 15, ce sont « des monstres ». Montaigne utilise beaucoup de périphrases, pour exprime l’incompréhension des indiens. Il y a des métaphore hyperbolique qui fonctionne en antithèse (« les foudres et tonnerres » s'oppose à « tissu de coton, sans autres armes ») pour exprimer la violence. Les conquistadors ne sont vainqueur que par leur violence, leurs techniques, et aussi par surprise. Ils n'ont aucune raison morale pour vaincre les autres. Marque de 2éme personne ligne 20 , il implique le lecteur. Ligne 21, les indiens sont comparés à César, il crée un lien avec le lecteur. Gradation ascendante, ligne 29, avec anaphore ternaire, anaphore en trois étapes. Protase(montée progressive) et l'apodose (la chute), partie de phrase. Montaigne par sa pensé est à contre courant. Le style nominal est l'équivalent du cri, c'est l'état le plus primaire. Éloquence binaire, ligne 31, et un chiasme ligne 32, Montaigne utilise tous les moyens pour nous convaincre.
Il reproche également aux européens d'être vicieux et trompeur. Champ lexical de la tromperie, ligne 17 , celui du vice, de l'escroquerie ligne 27. Les européens ont complètement perverti, corrompu les indiens.
CCL : On est donc à la fois dans un plaidoyer d'un peuple pour, mais c'est aussi un réquisitoire encore plus passionné, plein d'empathie, un réquisitoire ardent contre la barbarie des