Le langage, élément clé autour duquel tournent les deux recherches à effectuer pour aujourd’hui. En effet, le langage et la philosophie sont intimement liés. Dans la mesure où le terme même de philosophie fait référence à la réflexion, il est tout à fait sensé de s’intéresser au langage, instrument absolu permettant de communiquer voir même d’exprimer une pensée. En prenant en compte ce simple postulat de base, intéressons nous d’avantages aux deux sujets qui font office de sous-titre au sein du domaine délimité par cette feuille. La philosophie du langage s’intéresse à la nature, aux origines, et aux sens du langage. Il a pour but de vaincre quatre maux problématiques ; la nature du sens linguistique – c’est-à-dire ce que cela signifie de vouloir signifier quelque chose -, l’utilisation du langage – au niveau social par exemple -, la cognition du langage – et ainsi étudier comment le langage agit sur les esprits des interlocuteurs - et finalement la relation entre réalité et langage – il est fait référence ici à la tentative – on l’espère qui aura aboutit à quelque chose – de bien vouloir comprendre comment le langage est lié à notre monde. Remarquons au passage, que tout peut donc être la cible de cette philosophie du langage diabolique. Prenons comme simple exemple le texte lu en ce moment, les mots choisis par l’auteur sont chargés de sens, de sens de sens, de réalité,… La philosophie analytique est un mouvement philosophique dont la tâche est essentiellement linguistique. Voilà comment définir la philosophie analytique en une phrase, sans prendre un énorme risque de se tromper. Tout développement de cette définition nous amènera sans doute vers quelque chose de plus en plus faux, mais tentons-le quand même. Elle a pour but de clarifier les idées et les concepts. Comment ? En procédant à l’aide d’une démarche analytique. Elle tentera donc de repérer des erreurs à l’aide d’une analyse logique du langage. En parlant d’analyse philosophique, l’on peut