Je travaillais alors dans la Manche, d'une vendeuse. Ils me payaient une merde et tout le moment était débout. L'unique qui avait le boulot de bon consistait en ce qu'il était fait par les tours que currabas ou par matin ou dans l'après-midi donc il te restait beaucoup de temps libre. Mais payer ce que payer se dit, ils payaient assez peu, j'ai saisi que Silvio payait plus location que je et cela me le frottait tout le jour par le visage. Le cas consiste en ce que je m'ai commencé à être amer et il a été quand s'est éveillé le monstre, et d'un chemin sur le travail j'avais envie d'acheter du chocolat. Et ainsi je me suis mis d'une grosse femme, un adieu à ma taille 40. [...] Et le problème consiste en ce que dans la Manche ils ne commercent pas de vendeuses qui ne sont pas maigres. Et un pas de l'époque par devant du magasin de Superwoman et je vois l'affiche : “On a besoin d'une vendeuse”. Je sai bien qu'ils ne vont pas me jeter d'un magasin spécialisé en grandes tailles, mais la responsable me dit : “Il regarde, c'est que tu es trop obscure et les clientas vont m'avoir peur”, ainsi de chungo il me le met. Mais au moins je le remercie pour la franchise. Parce que quand il allait demander un travail, avant de le trouver de la Manche, je veux dire, ils n'avaient pas l'habitude de me le dire si clair. Il envoyait le curriculum et ils m'appelaient et par téléphone ils semblaient enchantés, mais aussitôt qu'il arrivait au rencontre ils me regardaient de là-haut en bas et me dit : “Le poste est déjà pris” parce qu'ils n'avaient pas de détentions ni étaient si sincères comme cette madame. “Les clientas vont m'avoir peur”. Et tout de suite il me demande : “Mais tu: d'où es-tu ?”. “Déjà, mais ce que je veux savoir est qu'où tu es né”. “Puisque à Alcala de Henares, une madame”. “Déjà, mais tes parents sont d'où”. “Puisqu'ils ont vécu toute sa vie à Alcala de Henares”. La madame était déjà des mêmes nerfs. "Puisque, s'ils sont noirs, ils n'ont pas pu naître à Alcala de