moliere
zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz- zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz- zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz- zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzrr- rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr- rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr- rrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr- rrr un esclave.
b) Dénonciation de l’hypocrisie de la religion chrétienne.
prosopopée de la mère de l’esclave utilise un champ lexical religieux pour parler des blancs : « bénis nos fétiches, adore les ». Blancs divinisés (fétiche=divinité). Divinisation des Blancs à plusieurs reprises lors de leur première apparition dans un territoire à l’époque. Répétition ironique de l’esclave avec expression « fétiches hollandais ». critique de la superstition. Le rôle des missionnaires, des évangélistes qui accompagnaient chaque expédition coloniale est aussi mis en lumière : «qui m’ont converti », évangélisation des populations par abandon de leur religion première pour le christianisme imposé. Dénonciation d’une foi imposée, et d’un manque de tolérance des autres religions/cultures. Enfin, critique anticléricale, contre l’Eglise, habituelle chez Voltaire. Message religieux de tolérance et de fraternité exposé par l’esclave «nous sommes tous fils d’Adam », « nous sommes tous cousins issus de germains ». Logique pure, si le message religieux s’applique, et principe de la fraternité des chrétiens. Seulement, la différence de traitement entre les chrétiens libres et les esclaves convertis ne peut faire d’eux des frères. Par la logique imparable de l’esclave, Voltaire montre le mensonge de l’Eglise.
Une vision pessimiste de l’homme européen.
description péjorative de l’homme européen : « maître », « Vanderdendur », marque la dureté de l’homme européen. Les marchands qui