Moliere le malade imaginaire moihamdoulacava
Angéliqe :-Votre présence me ravie mon père !
J'ai justement pour vous un propos qui me tient a cœur depuis bien longtemps :
Je peux admettre que Cléante ne vous convienne pas pour partager ma vie ; dans ce cas, je vous supplie de ne pas m'obliger à épouser un homme que je n'aime pas !
Cléante , s'inclinant :- S'il vous plaît Monsieur !
Ne voyez pas d' inconvénient à ce que votre fille ici présente n'épouse pas un homme qui gâchera sa vie mais plutôt quelqu'un qui l'aime ; chose qui je l'espère est réciproque.
Béralde :- Enfin Argan, ne soyez pas idiot ! Il faudrait être insensible pour s'opposer à une si belle union.
Toinette :- Monsieur ! Écouté donc votre frère!Consentez à cette union et n'en faîtes pas une maladie !
Argan :- Mon cher Cléante, je vous trouve de nombresues qualités ; néanmoins, un manque fait de vous un homme banal !Faîtes-vous médecin et dès lorss vous deviendrez mon gendre !
Cléante :- Dans ce cas, je me tarde a apprendre cette science : bientôt la médecine n'aura plus aucun secret pour moi !Et vous Monsieur, cet art ne vous à toujours pas convaincu ?
Béralde :- Mais c'est que votre futur gendre est loin d'être un idiot !Je connais bien les filières de l'apprentissage de la médecine, et croyez moi, l'apprendre est moins complexe que ce que cela en à l'air !
Argan :- Ne soyez pas si ambitieux mon frère!La médecine contient bien des secrets ! Je ne suis plus en age d'étudier me semble-t-il...
Béralde d'un ton décidé :- Croyez moi !Dès lors ou le titre de médecin vous sera décerné, la médecine n'aura plus aucun secret pour vous ! L'affaire peut être reglé en un après-midi . C'est très simple !
Argan :- Même trop simple!Si devenir médecin est si simple, Cléante n'a plus rien à envier à Thomas Diafoirus .De plus, la prétention de Thomas devenait pour moi génante. Cléante, je vous autorise à épouser ma fille, après tout vous le