Mode
Les standards les plus célèbres furent le Monochrome Display Adapter et le Hercules Graphics Card.
Un écran d’affichage en caractères est composé de 40 ou 80 colonnes, et chaque commande ou action génère un retour à la ligne. Lorsque la ligne atteint la base de l’écran, toutes les lignes sont décalées d’un cran vers le haut et la nouvelle ligne s’inscrit en bas de l’écran. (Scrolling)
Un écran d’ordinateur compatible PC peut accepter 25, 43 et 50 lignes et 40 ou 80 colonnes, selon le mode texte choisi, - ceci permet un affichage maximal de 80 × 50 = 4 000 caractères à l’écran ; ceux-ci peuvent prendre différentes couleurs (par exemple, 16 couleurs + clignotement) sur différents fonds (16 couleurs). Par contre, le tracé et la chasse (la largeur) des caractères est fixée par le système.
Le mode texte ne permet donc pas l’affichage d’image numérique, sauf par des moyens très détournés comme l’art ASCII. Ce mode était couramment employé sur les ordinateurscompatibles PC durant les années 1980, jusqu’à ce que Windows prenne le pas sur MS-DOS. Les Macintoshs, conçus dès le départ comme ayant une interface graphique, n’ont acquis de terminaux en mode texte qu’avec la sortie de Mac OS X, lequel est désormais un système Unix, fonctionnant sur un matériel compatible PC.
Histoire du multimedia[modifier | modifier le code]
Ce concept a notamment été utilisé par les technologies minitel, télétexte, et vidéotext.
Usages[modifier | modifier le code]
Si les interfaces graphiques sont devenues une référence avec des environnements de travail comme Windows ou X Window, l'existence de logiciels utiles et pratiques n'ayant pas d'équivalents en mode graphique a perduré au travers de terminaux virtuels tels que xterm, rxvt et la fenêtre dans laquelle Windows lance les exécutables compilés en mode dit console (comme cmd.exe) qui reproduisent le