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Les facteurs génétiques
Nous ne sommes pas égaux face au vieillissement. Nos gènes déterminent la vitesse de la dégradation de notre organisme et la durée maximale de notre vie, évaluée à 120 ans pour l’espèce humaine. Seules les lignées de cellules cancéreuses, dont le nombre de divisions n’est plus limité par les gènes, sont théoriquement immortelles.
Les radicaux libres
Ces molécules, présentes dans certaines cellules, possèdent en périphérie un ion électrique isolé, pouvant se libérer facilement. Très instables, à la fin de chaque réaction chimique cellulaire, elles se fixent et endommagent les protéines, les membranes ou le matériel génétique. Leur trop grande accumulation accélère le vieillissement.
L’appareil génital féminin
Dès 50 ans, avec la ménopause, tous les organes s’atrophient, la lubrification vaginale est très réduite et les sécrétions hormonales cessent dans les ovaires. La reproduction n’est plus possible.
. Le cœur
Il perd lentement sa puissance et sa capacité à s’adapter à l’effort par des battements plus rapides ou plus puissants.
Des scientifiques ont identifié des variants génétiques qui pourraient être liés au vieillissement biologique de l'espèce humaine. En effet, notre corps mue au fil du temps : c'est ce que l'on appelle le vieillissement chronologique, fonction des années vécues.
D'autre part, ces résultats d'étude démontrent que notre ADN joue un rôle important dans le processus de vieillissement de notre corps, c'est-à-dire de nos cellules. C'est là qu'intervient le second paramètre : le vieillissement biologique.
Pourquoi vieillit-on? Les théories du vieillissement
Voici les plus retenues :
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