Miel
340-102-MQ L’être humain
Dissertation de mi-session
Travail présenté à
Jean-François Fournier
Technique d’intervention en délinquance
Collège de Maisonneuve
10 novembre 2011
Au XVIIIe siècle, on fait présage à divers changements de pensées. Certes, la société à cette époque décide de mettre fin à toute autorité. Cette autorité est basée sur les pouvoirs qu’avait l’église sur la société. À cette époque, la société vivait tête baissée sur le mouvement traditionnel qu’imposait l’église. Dans ce contexte, c’est les croyances religieuses et les superstitions qui prenaient le dessus dans la collectivité. Plus le temps évoluait, plus la société devenait moderne. La modernité est-elle un gain ou une perte pour l’individu et la collectivité? La position optée est celle d'un gain pour l’individu et la collectivité. Elle sera sommairement prouvée par les deux points suivants : l’évolution de la collectivité et le changement de l’individu.
Pour commencer, la modernité était l’élément déclencheur qui a permis beaucoup de changements dans la collectivité. La modernité se caractérise par l’attitude intellectuelle que la société a décidé de suivre. En d’autres termes, la raison a pris le dessus sur tout le pouvoir qu’avait l’église sur la collectivité. Qui parle d'évolution dit que cela amène des changements majeurs au niveau de la technologie. Selon un ouvrage d’un site internet : « Les progrès technologiques qui caractérisent la naissance de la modernité vont également favoriser la transformation de la vie économique, sociale et politique. Graduellement, une économie industrielle va se développer. Cette forme de production et de distribution s’inspire d’une des principales valeurs de la pensée moderne : l’efficacité. » Cette citation explique promptement que la modernité a fait découler plusieurs transformations qui ont amélioré la base de vie de la société. Si la collectivité avait toujours été brimée par l’église rien de toutes ses