la mère a pris soin de toutes les tâches ménagères. A soixante-dix ans sont gardés forte et pleine d'énergie. L'agitation de scie dans la cuisine, ou épousseter les meubles, et a été étonné de sa vitalité. À la suggestion de son fils, est allé faire une promenade tous les matins pour faire de l'exercice, ce qui laissera très bien, at-il déclaré excité. Certains dimanches ils sont allés à la plage à l'aube. Bien qu'il ait été le seul jour où je devais libre et le plus souvent passé son temps à peindre, Gabriel savait que sa mère mer remplie de joie, si jamais mettre des obstacles lorsqu'il Elle suggérées, milieu de semaine, ils ont passé le dimanche Miami Beach. Comme insulaires en dernière analyse, la relation avec l'océan provenait de sources mystérieuses, impossible à définir.
Ils sont arrivés tôt, les serviettes et les chaises pliantes installés dans le sable, et ils se sont installés près de la rive. Ils sont restés là, à boire des sodas qui ont attiré l'glacière pleine de glace et de parler de l'enfance de Gabriel sur l'île, bien que parfois le sujet de la conversation a dérivé l'avenir et les spéculations à propos inévitables quand ils feraient où la dictature a pris fin en Cuba. Il a été impressionné par le niveau de férocité que je pouvais réaliser le désir de l'vengaza personnes âgées. Les plus grandes cruautés ont été réservés pour Fidel Castro responsable selon elle tous les malheurs de Cubains .
Gabriel ne pouvait pas s'empêcher de penser que le sort de l'île serait désastreux et turbulent. Plein de sang, la haine et la violence. Il était inévitable si le système avait été en mesure de créer un désir de vengeance et de ressentiment si forte dans une vieille femme sans défense, généreux et doux, pas de mal à personne ...
Quand le soleil était insupportable, ils sont allés déjeuner dans un restaurant à proximité. En porte Sagua servian nourriture cubaine réel, bon et pas cher. Toujours bondé. Ses bières froides, car elles n'étaient pas nulle part