Methodologie des sciences sociales
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Autiefois, on créait des sorciers;'denos jours, on labrique des maladesmentaux. Il ne faut toutefois pas oublier que p.étendreque et les maladies mentales les fous n'existelt pas,ne signifiepas que le compollementindividuelaffichépar despelsollnes étiqnetées malades peuventcauser n'exismentales ainsique lesdésordres sociauxqu'elles des tent pâs. De nos jours, il existeeffectivement individus qui troublent I'ordre public, violent la loi ou agissent l'encontredesconvenâ tions sociales et morales, comme les individus qui se drogùert à l'héroiûe ou les femm€s qui laissent leurs bébés [oùveau-nes sans de soins. Ces genssont souvei[ accusés folie (du fait qu'on les étiquelte (drogués) ou (psychotiquespost-pa umt et, pâr conséqirent, persécutés tant que malades en mentaux(au moyende I'hospitalisatioû forcée et destraitementsmédicaùx). Le fait est que ce.rmalapas des mentaux lâ ne choisisseBt le rôle de malade menta.l;on lqs étiquette et on les soignecontre leur volonté, c'est-à-direqu'on leur ,'rfiposeun rôle. Et si les malâdesmentaux en avaient la possibilité, ils choisiraient tous d'être ignorés paa les telrâtts du pouvot médical st de I'Etat. Je dirai encore que, si notre intentioû est de voir les chosesclair€ment, plttôt que de confirmerdesdoyancespopulaires etjustifier des pratiques desormais accgptées, nous devons établir une nette distinction etrtretrois catégories pbénomènes de apparentés mais distiûcts: d'Àbord, les événeùents et les comportements, corl.rû\eIa t'aissar\ce sa mèred'un bébébien portant; le,Jî explication au moyen de conceptsreligieuxet deuxièrDement, hédicaux, telles la sorcellerie ou la folie; troisièmement, leur conl/6/e par la société, ou retigieuses médicales, uti:lstifiê par dese,{plications lisadt des intervertions rhéologiquesou thérapeutiques, comme le bûcher pour les sorcièes I'hospitalisation ou d'office des fous. on peut accepter téalitéd'un événement d'un comportemedl la ou tout en refusart les explicâtions qu'on elr donne