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La plus grande difficulté que vie l’entreprise de salon funéraire Ubald Lalime est la compétition avec les coopératives de services funéraires. Celles-ci ayant un objectif différent que les entreprises privé, il est donc difficile de rivaliser avec celles-ci. Les coopératives de services funéraires ont comme objectif d’offrir à bas prix leurs services à la population.
Elles ont été créées en 1987 lorsque plusieurs entreprises américaines ont vu la possibilité d’acquérir des entreprises funéraires au Québec, le marché étant lucratif. Elle compte aujourd’hui 23 coopératives toutes regroupé sous la fédération des coopératives funéraires du Québec. Les coopératives ont accès à des prêts monétaires avantageux offert par les caisses populaires Desjardins, chose que les entreprises privées standard non pas. Ne cherchant pas à s’enrichir les COOP funéraires deviennent une alternative intéressante pour la population, elles sont un compétiteur de taille aux entreprises privées de services funéraires.
D’ailleurs pour rester dans la course l’entreprise doit sans fin innover. Elle doit se démarquer dans ces services et produits offerts. Dans un secteur particulier qui a trait à la morte ce n’est pas chose facile. Puis il y aussi le défi de trouver du personnel qualifié. Un seul Cégep offre une formation en thanatologie, le Cégep de Rosemont, plusieurs élèves commence la formation de trois ans mais très peu en sont diplômé. Ce qui rend le choix restreint quand vient le temps d’engager du personnel. Le domaine étant un domaine particulier, les foules ne courent par quand il est question d’engager des employés.
Question 3A)
Monsieur Anthony Marcil nous expose dans son entrevue les différentes difficultés que vit son entreprise. La compétition avec les COOP funéraires, le défi d’innover sans cesse et le devoir de trouver du personnel compétant et formé dans des disciplines particulières.
Pour ce qui est des COOP funéraires, Monsieur Marcil avoue que le