Mesures de protection du phoque à capuchon
La protection de l’écosystème où l’on retrouve le phoque à capuchon est une priorité dans une perspective de protection de cette espèce. Afin de contrer les dangers auxquels font face les phoques à capuchon, nous conseillons l’application dans les plus brefs délais des deux mesures de protection de leur écosystème suivantes : des mesures visant à réduire le tourisme ainsi que les activités industrielles et commerciales dans la région ainsi que des mesures visant la réduction des émissions de polluants. Et des deux mesures de protection de l’espèce suivantes : des mesures permettant une augmentation graduelle de la population ainsi que des mesures de préservation de l’espèce en collaboration avec un centre conçu à cet effet.
Tout d’abord, il est à noter que les activités commerciales et industrielles dans l’écosystème des phoques à capuchon est moindre, toutefois lorsqu’elles ont lieu, elles peuvent causer de grands troubles dans l’écosystème. Étant donné que l’habitat des phoques à capuchon n’est pas des plus accueillants pour l’homme, celui-ci devra très certainement employer des instruments pour casser la glace afin de pouvoir voyager dans ces lieux. Un des meilleurs exemples serait les brise-glaces, de gros bateaux équipés de fourches en métal à l’avant afin de casser la glace pour permettre aux bateaux de circuler, hors cela peut facilement endommager les abris construits dans la glace par les phoques à capuchon, ce qui les rend plus vulnérables face à leur environnement et à leurs prédateurs. Afin de contrer ces activités dommageables à la survie des phoques à capuchon, nous conseillons de faire diminuer la présence humaine indésirable dans le secteur en détournant, si possible, les envois commerciaux par d’autres chemins où les espèces sont moins à risque. Nous estimons que cette mesure ne devrait pas coûter trop cher au gouvernement, toutefois elle présente un risque de désobéissance puisqu’elle entraînera des coûts supplémentaires