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|Jusqu’où iront-ils ? En finir avec les libéraux... |
[pic]Il n’y a plus aucun parti, aucun syndicat capable de représenter le simple citoyen car nous savons que derrière la façade démocratique se cache la collusion des intérêts partisans avec le groupe dominant.
Au-delà du oui, c’est tout l’édifice représentatif qui s’écroule car le pouvoir sera administré dans des cénacles feutrés, loin des tumultes du quotidien de millions de précaires et d’exclus du système.
Tous les gouvernements qu’ils soient de droite ou de gauche, tous les partis, tous les syndicats seront bientôt des corps sans tête, s’agitant après leur mort dans un dérisoire spectacle d’apparences, simulant les discours, les comportements, les réactions d’organismes et d’individus oeuvrant pour la collectivité et le bon peuple. Une mascarade d’institutions démocratiques comme une république des singes continuant à faire leurs grimaces par la force de l’habitude alors qu’ils sont déjà "morts".
Ainsi en est-il du processus destructif de l’arrogante commission européenne qui, ne se sentant plus de joie à l’approche de la naissance d’une dictature libérale, affiche ouvertement son mépris de la démocratie par le renouvellement "directive Bolkestein" qui attendra à peine son heure pour nous assujettir.
La classe politique française a réclamé mardi au président de la Commission européenne une complète "remise à plat" de la directive européenne sur la libéralisation des services.
Haro sur la directive Bolkestein et la Commission européenne. Au lendemain des déclarations du président de la commission européenne José Manuel Durao Barroso en faveur du principe du "pays d’origine" dans la libéralisation des services, la réprobation est unanime en France. Lundi soir à Bruxelles, le patron de l’exécutif communautaire avait indiqué qu’un marché intérieur