En France au XIXe siècle, règne une grande instabilité politique et beaucoup de régimes se succèdent, la vie n’étant pas facile pour les gens qui se retrouvent au bas des classes sociales. Maupassant, un écrivain de cette époque, s’intéressa justement à ces classes rendant ses œuvres plus réalistes. Cet auteur voulait représenter toute la réalité qui l’entourait sans seulement penser aux personnes riches. C’est pour cela que dans beaucoup de ses nouvelles, une chute de la part du personnage principal est présente dans l’histoire, c’est ainsi dans La parure. Dans cette nouvelle, publiée en 1880, on assiste à la chute de Mathilde, une femme victime du matérialisme. Tout d’abord, elle est totalement insatisfaite de ce qu’elle possède, elle pense constamment à la richesse. Un soir, son marie l’invite à une fête chez des riches. Elle fera tout pour bien paraître et se sentir à l’aise devant tous ces gens riches. Pour se faire valoir, elle emprunte un magnifique collier de diamants à une amie riche, Mme Forestier. L’analyse montrera que le malheur succède au bonheur dans cette histoire.
Tout d’abord, le jour de tent attendu de Mme Loisel arriva. Tout le monde avait les yeux river vers elle tant elle était magnifique : « Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie.» Guy De Maupassant utilise ici une énumération d’adjectif pour créer un effet d’accumulation pour montrer à quel point elle était ravissante. La dame vie son rêve, elle se sent bien et oublié tout pour seulement penser au moment présent : « elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée pas le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès. Nous pouvons encore repérer une énumération dans cette citation mais aussi un champ lexical de l’ivresse qui montre l’immense sentiment de joie qui envahi Mme Loisel. Maupassant vas même jusqu'à utiliser une métaphore qui compare le sentiment qu’elle ressent à un nuage de bonheur : «