L'homme n'est pas le seul vivant à travailler, mais il est le seul vivant à travailler comme il le fait. Le travail humain ne se distingue pas du travail animal par le moyens ou par les buts de la production. L'abeille mime l'architecte, l'araignée le tisserand : il manque à ces deux animaux la propriété de se rapporter à la matière selon la représentation de l'objet à réaliser, avec cette conséquence d'éveiller, de développer et de fortifier des capacités enfouies aussi quelles soient intellectuelles ou morales. Peut - on partager avec MARX cette conception d'un travail littéralement épanouissant ?
Le travail est EXCLUSIVEMENT humain, le labeur lui peut-être animal.
CONCRETEMENT, cette idée se ressent bien dans le fait que pour l'homme le W et d'autant plus entrainant que l'homme a conscience d'y distinguer le jeu de la mobilisation des forces de son corps et de son esprit (un dualisme d'ailleurs étrange chez marx, qui est tout sauf dualiste habituellement). * Pour faire tes parties dans le texte, aide-toi des connecteurs logique (mon I s'arrête à "mais").
Donc I(du début à "mais"): L'Homme garde une corporéité, tout comme l'animal il peut user d'une technique
II(de "mais" à "et cette subordination")MAIS, si tout animal est capable de reproduire une même technique, seul l'homme peut anticiper: cela modifie la nature de SON travail.
III (de "Et cette subordination" à "moins attrayant"): Le travail aliène les pensées de l'homme qui l'accomplit
IV (de "voici les éléments" à "changement de forme"): Le travail humain est dirigé vers un but. (pré-dirigé)
V (le reste du texte ) :Le travail accomplit, l'homme dispose d'un retour à soi.
Autrui ! Oui, c'est complétement escamoté, et ça devrait servir de coeur de ta partie critique. Pour marx, autrui est exclu de l'expérience du travail. Cette expérience fondatrice de l'homme induit le rapport de soi à la nature, mais autrui n'y est pas présent. Justement, dès qu'autrui s'intègre dans le processus