La marchandise selon Marx est un objet ayant pour caractéristique de répondre au besoin de l’homme non uniquement essentiel mais de tout type de besoin qu’elle soit primaire ou secondaire. De plus, elle est l’aboutissement de deux activités. D’une part, La marchandise est la somme d’une fraction du travail toute entière. Autrement dit, la division du travail qui permet sa création. D’autre part, c’est une activité qui s’inscrit dans le cadre d’une propriété privé du mode de production. L’aspect utilitaire d’une marchandise lié à ses propriétés est basé sur la valeur d’usage qui est historiquement ancré à l’état des sociétés dans leurs consommations. En parallèle, il y a la valeur simple d’une marchandise représente le rapport travail et temps qui sont en lien avec la valeur de la production de cette marchandise. Comparativement à la valeur d’échange dont les bases se rapportent à la quantité d’une marchandise selon la proportion du produit échangé contre un autre sur des fondements arbitraire ou relatif. Or, l’équivalence de différent marchandise dans le but de l’échanger peut être conçut sur 3 type de valeur ; équivalence relative, générale ou monétaire. La valeur d’échange relative s’établit selon le caractère quantitatif entre deux substances. Alors que la valeur générale se calcul selon un étalon. Finalement, on en vient chronologiquement à une valeur d’échange monétaire qui devient le nouvel étalon. La qualité naturelle de la marchandise acquière à celle-ci une utilité donc une valeur d’usage qui s’estompe dans l’échange en réduisant aussi le produit du travail individuel. Cependant, le seul caractère immuable qui reste dans tous types de marchandise exclu de sa valeur d’usage est incontestablement la dépense de force humaine de travail versé dans la marchandise transformé. De plus, le concept de « temps de travail nécessaire socialement » semble prendre une place considérable dans sa théorie sur la marchandise afin de déterminer la quantité de valeur de