Marivaux, les fausses confidences, acte iii scène 8
Pour cela nous étudierons la lecture publique de la lettre et quels réactions les personnages adoptent-ils.Conclusion :Le mensonge pousse l’individu dans ces derniers retranchements et c’est ainsi que la fausse confidence finale, permette a Dorante et Araminte de faire le point sur leur sentiments. Les opposants a leurs amour sortent assez piteusement ( compte accepte sa défaite avec élégance) et Araminte reste maitresse du champ de bataille.Manque ouvertureMouvement 1 : La lecture publique de la lettreL1 Marton ouvre la scène en annonçant à Araminte que Dorante a déjàorganisé son départ en recommandant un successeur : « Voilà une lettrede recommandation pour lui, et c'est M. Dorante qui l'a …afficher plus de contenu…
Elle considère l’amour de Dorante pour Araminte comme irrespectueux des normes sociales.Mouvement 2 : la lettre révèle que D a peint le portraitL12 : « C’est à dire que le personnage sait peindre » = D’un côté elle dénigre les prétentions artistiques de D d’u autre son commentaire ironique passe son but car elle reconnaît implicitement que Dorante a du talent.L14 : la lettre évoque « une fille à la maison » a qui le portrait aurait été confié-> Mme Argante devine que c’est de Marton qu’il s’agit « cela vous regarde » = elle mène un travail d’interprétation (comme le spectateur) ce qui rend la scène divertissante.Notons que le Comte poursuit la lecture sans jamais commenter ce qui montre que son rôle dans l’intrigue se réduit ce qui annonce l’échec de ses projets.L16 : DORANTE annonce son renvoi « avec le chagrin d’être renvoyé et de perdre le plaisir de voir tous les jours celle que j’adore… » = amour courtois, l’homme du rang inférieur vénère une femme