les requitions allemandes :
Avec le temps les militaires allemands ne se limitent plus au simples frais d'occuptions qu' imposent l'armistice. Les frais d'occupation s'elevent à 300millions de francs par jour en 1940 , à 500millions de francs par jour apres l'invasions de la zone libre en 1942
Leurs besoins augmentent considerablement a cause des frais de guerre. Leur pillage en biens de toutes sortes est devenu plus important et leur exisgences encore plus imperieuses
Des le debut de l'occupation, le 14 juin 1940, 40 000 logements auront été requisitionnés et 400 hotels occupés. Mais avec le temps les réquisitions immobilières sont de plus en plus nombreuses : les occupants s'approprient 8046 locaux dans Paris le 1er juillet 1944. La propriete des Blumenthal, rue Docteur-Blanche, fut occupée par les allemands qui élévaient des cochons dans le parc. Les prefets de la Seine et de la police impuissants, ne cessent de se plaindre au gvt de Vichy du comportements des allemands. L'administration obtient que 346 requisitions soient levées. Les allemands demandent des travaux d'amenegement dans ces locaux toujours dans de tres brefs delais, par exemple entre le 15 novembre et le 15 octobre 1942, 187 travaux de refections ont ete effectues et tout cela au frais de la mairie de Paris. Le gouvernement de Vichy , en 1940, s'est plaint a Wiesbaten de l'ampleur et du rythme des requisitions. En avril 1941 le gvt de Vichy demande qu'une commission mixte d'experts "determinent les regles des requisistions, les dommages et les reparations qu'elle entraine" Mais aucune reponse n'est renvoyer a cette demande. Les requisitions , meme les plus inattendus, continuent a proliferer. En mars 1943 l'occupant va recenser les "locaux vacants et les bicyclettes" . Il a pour exigence en cas de besoins de disposer de 30 000 bicyclettes. Tous les moyens de transports (automobiles, camions, locomotives) sont prelevés d'office. En juin 1940 il requisitionnent 3000 locomatives parmis les