Levons les barrières du passé

Nous voulons le droit de faire avancer la recherche comme nous l'autorise la Charte des droits et libertés.
Nous voulons une médecine plus efficace qui utilise au maximum les connaissances que l'homme a acquiert dans son histoire.
Nous voulons le droit de rouvrir la recherche sur le clonage pour un monde meilleur. Gouvernement des gouvernement, organisation mondiale pour le maintient de la paix, messieurs le dirigeants de l'ONU, il serait temps de faire face au monde moderne dans lequel nous vivons, et de lever l'interdiction de la poursuite de la recherche sur le clonage. Il fut un temps où cette science faisait peur, et à l'instar de poursuivre la recherche dans le domaine, vous avez préféré la clore et l'interdire. Or bien que cette décision aie pu sembler la plus sensée nous sommes convaincu qu'elle contrevient aux droits des scientifiques, et qu'avec un suivi moderne et strict, il serait possible de la renverser sans danger pour quiconque. Il est vrai que cloner un humain est moralement proscrit par nos valeurs, car les avancés dans ce domaine ne nous permettraient que de faire naître un mutant, ou dans le cas d'une réussite, une personne dont la durée et la qualité de vie sont assurément amputés. " Exposer les êtres humains au clonage n'est pas prendre un risque inconnu, c'est faire sciemment du mal au gens ", a dit John Kilner. Pourtant, il existe une distinction bien réelle entre le clonage thérapeutique et le clonage d'êtres. En effet, le clonage peut être utilisé de façon médicale en créant un clone, dans le cas intéressant la plus part des scientifique, humain, mais d’arrêter son développement au stade embryonnaire. Le tout dans le but de prélever des cellules souches, lesquelles représente le seul espoir de guérir un grand nombre de maladies qui sont pour l'instant incurables. Dans cette forme de clonage, personne n'en souffre et, au contraire, nous pourrions sauver un grand nombre de vies. Il existe