Management cas laffarge
Question 1 :
Selon Bertrand Collomb l’esprit d’entreprendre consiste à avoir des nouvelles idées tout en prenant des risques afin de les mettre en œuvre tout en ayant la capacité à manager afin de mener à bien un projet, il faut donc avoir un esprit innovateur ainsi que créateur.
Bertrand Collomb a donc fait une direction décentralisée en créant des patrons d’unités qui ont un esprit d’entrepreneur. Le patron d’unité est très libre au niveau de la gestion de son entité cependant chez Lafarge on veut éviter d’avoir des patrons trop entrepreneur qui souhaitent en permanence tout réinventer, le patron d’unité à donc une limite au niveau de sa liberté d’entreprendre ou bien d’avoir des patrons d’unités qui se voient comme simple salarié exécutant. Il faut donc trouver un juste milieu entre ces deux notions avoir une liberté sans en faire trop.
Question 2 :
À la différence d’un entrepreneur créateur d’entreprise, qui se comporte de façon totalement autonome, qui peut prendre les initiatives qu’il veut dans son entreprise et trouver lui-même les ressources et les équipes dont il a besoin, un manager est dans ces différents domaines, contraint par la structure souvent classique et rigide de l’entreprise dans laquelle il exerce sa fonction, dans le cas présent l’entreprise Lafarge. Il doit notamment y gérer de façon optimale les ressources dont il dispose, et en particulier les ressources financières, souvent limitées.
De plus, un manager est averse aux risques et se préoccupe des résultats immédiats.
Il cherche à apprécier les risques de façon rigoureuse et méthodique.
Il ne prend en général ses décisions que sur la base de certitudes et à l’issue d’un processus de décision classique comprenant plusieurs étapes bien définies.
Selon Bertrand Collomb, ce n’est pas le cas de l’entrepreneur, qui prend généralement ses décisions en se basant sur son intuition, ce qui lui permet souvent de saisir à temps les opportunités qui se présentent à