Madame de bovary, mme leroux
Manuel p. 75
INTRO
Contexte : Courant réaliste / roman réaliste / 19ème siècle
Auteur : travail perso
Œuvre :
5 ans d’écriture / recherche de la perfection formelle (il travaillait dans son « gueuloir » / A fait scandale pour atteinte aux bonnes mœurs / procès / acquittement / grand succès d’emblée.
Résumé / Roman d’une femme désœuvrée / cf. manuel
Texte : cf. manuel.
Ptique : comment ce portrait réaliste acquiert-il une fonction symbolique ?
I. Un portrait réaliste II. Un portrait symbolique
I. Un portrait réaliste
a. Entrée en scène / apparition du personnage
- introduite par le verbe de perception voir « on vit s’avancer »l.1 = verbe perception associer au « on », nous public on a l’impression d’assister à son arriver. - Leroux = point focal car sur elle est sur l’estrade et centre des regards avec le pronom « on » - « on vit » = passé simple, entrée soudaine et remarqué (renvoi à Mlle de Charte, même type d’entrée) - Ici, décalage entre la façon d’on elle entre et sa particularité physique de se personnage qui est très en retrait, discret physiquement et moralement
b. Portrait physique
- progression du regard, d’abord regard général, puis du bas vers le haut (CL corps « mains », « hanches » …). D’abord du bas vers le haut car elle est surélevé estrade : ça crée un effet d’attente car nous public, on a envie de voir son visage. - beaucoup de détaille sur le corps et le vêtement = portrait réaliste (voir CL lexical) - vêtements qui complète portrait physique : CL vêtements « pauvres vêtements », « tablier bleu », « camisole rouge ». l.2 à 5 = ils permettent d’insister sur la disproportion de son corps par rapport à ses vêtements. - manche trop coutre = permet de dresser portrait social du personnage. - vêtements rustiques et simple : « grosse galoche de bois » (allitération en « gue » ) / « béguins sans